La fabrication du prototype du locotracteur électrique à débuté ce 8 Février. Grâce aux Etablissement KOC de Ramonchamp, qui nous ont fourni gracieusement, les éléments composant ce locotracteur ! Celui-ci sera fabriqué en 4 exemplaires, don un pour Claude BABEL notre secrétaire, un pour Claude SCHLIENGER notre collaborateur, le prototype destiné au Ets KOC, qui roulera sur le site du C.F.F.T , et un pour notre Président. La peinture de ce prototype, sera réalisé gracieusement , par la Société ACOLAQUAGE de Ramonchamp ! La fabrication du prototype, a débuté par la construction du chassis dont vous pouvez voir les premières images. J'ai été aidé dans ce travail par Claude SCHLIENGER. Les premiers éléments ont été soudés au TIG, par mes soins. Les caractéristiques techniques seront dévoilées dans un prochain chapitre.
Ce 9 Février, j'ai eu la bonne surprise de la venue de Claude SCHLIENGER, et pour un coup de main, je ne crache pas dessus comme on dit. Nous avons, de suite retourné le chassis, afin que je puisse terminé les soudures. Ensuite nous avons commencé l'assemblage de la caisse, et terminer l'ajustage des premiers éléments.
J'ai soudé l'ensemble, et nous voyons à présent, la tête que va avoir notre locotracteur !
Ce 10 Février, relaxe . . . j'en ai profité pour faire du ménage dans un de mes ordinateurs !
Ce 11 Février le matin , j'ai assemblé par soudures la cabine de conduite, car lundi matin j'irai chez MBS roulé la tôle de toiture en 5 mm. Avant midi, j'ai pu accroché au portique le locotracteur, encore vierge de tous ses équipements ; il accuse à la balance , le poids respectable de 80,7 kg ! Un beau bébé ! ! ! L'après midi, je vais me consacrer au plans de détails de la motorisation. . .
Ce 16 Février, je suis aller plié destraverses spéciales pour des aiguillages, et j'ai récupéré la toiture de MOYSE, que je me suis empressé de souder ! Désormais, le bébé pèse dorenavent 88,8 Kg ! ! !
Ce locotracteur, , fut fabriqué par la société Gaston Moyse à La Courneuve. Equipé à l'origine d'un moteur Renault, il fut re-motorisé par un moteur Berliet au cours de sa carrière, qu'il mena sans encombres chez Octel, une usine chimique de Paimboeuf (44).
